Il semble que contrairement à ce qui s'est passé pendant la campagne présidentielle, l'Europe soit au centre (sans jeu de mots !) des préoccupations du nouveau président de la République, pas encore investi officiellement. Il faut dire que l'actualité se charge de lui faire comprendre l'urgence de la situation.
Dès le 7 Mai, Sylvie Goulard l'appelait à restaurer un bon esprit européen à Bruxelles et à tenir toute sa place autour de la table qui va bientôt voir les dirigeants de la zone euro se pencher sur le devenir de la Grèce et, au delà, de la zone euro.
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