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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 22:38

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20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 22:38

....Où est la solidarité ? assez

 

Les associations caritatives risquent de voir leurs subventions baisser dans une forte proportion sur la demande de quelques états. Nous ne pouvons que dénoncer ce manque de solidarité alors que les difficultés économiques s'aggravent et que ces associations sont de plus en plus sollicitées !

 

C'est une" non-décision scandaleuse" !  http://www.mouvementdemocrate.fr/actualites/europe/bennahmias-aide-aux-plus-demunis-200911.html

 

 

"Il ne peut y avoir de justice qui tue". R. Badinter

 

Une phrase d'actualité, et un message d'Amnesty International :

 

Amnesty International France est révoltée par la décision du Comité des grâces de Géorgie prise ce jour de laisser exécuter, le mercredi 21 septembre, Troy Davis, qu'elle considère comme un affront à la justice. Le Comité des grâces manque à son engagement pris en 2007 de ne confirmer l'exécution que si sa culpabilité ne fait aucun doute.

 

« Nos pensées vont à Troy Davis, sa famille et ses proches », déclare Geneviève Garrigos, présidente d'Amnesty International France. « Nous pensons également à la famille de l'officier de police, Mark Allen MacPhail. Cette exécution ne leur rendra pas justice ».

 

L'organisation exhorte le Comité des Grâces à revenir sur sa décision.


Amnesty International appelle Larry Chisolm, procureur du District, à faire tout ce qui est en son pouvoir afin d'empêcher le processus d'exécution mais également les autorités de l'Etat de Géorgie ainsi que les autorités fédérales américaines à demander la commutation de la peine. S'ils n'agissent ni se prononcent, ils endosseront, dès lors sciemment,
l'exécution d'un possible innocent.

 

« Près d'un million de personnes à travers le monde se sont mobilisées parce que scandalisées par le sort de Troy Davis. Elles peuvent continuer à agir pour l'abolition de la peine de mort, comme il a appelé chacun à le faire, » affirme Geneviève Garrigos. « Je reprends ses mots : mots : " Ce combat pour mettre fin à la peine de mort n'est pas gagné ou perdu à
travers moi [...]. N'arrêtez jamais de lutter pour la justice et nous vaincrons !" »

 

Plus d'informations : www.amnesty.fr/troy-davis

 

 Nous vous invitons, si vous le désirez, à signer la pétition en ligne d'Amnesty USA


 http://takeaction.amnestyusa.org/siteapps/advocacy/ActionItem.aspx?c=6oJCLQPAJiJUG&b=6645049&aid=516533

 Cette pétition est en anglais et appelle le Procureur du district de  Georgia à demander une suspension de l'arrêt d'exécution et à se prononcer  lui-même en faveur d'une mesure de grâce. Il n'a pas le pouvoir de bloquer  lui-même l'exécution mais sa voix peut porter.

 

...et enfin, suite de l'épisode intercommunalité ! lu dans le quotidien "Le parisien"Le Parisien 20-9-2011 (SQY périmètre position CADALBERT e
   

 

 

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 21:44

couronne.jpg Que penser de ce que l’on observe aujourd’hui, de la situation de notre société et de sa gouvernance au plus haut sommet de l’état? Pas grand-chose ou, plutôt, une grande inquiétude face aux conséquences de ces 30 dernières années et une immense incertitude sur l’avenir.

 

Passionné d’histoire, je pense que nous pouvons assez facilement comparer cette période écoulée à celle qui a précédée la fin de l’ancien régime.

 

De plus je reste convaincu que l’homme a beaucoup de mal à assimiler, pour le collectif, les leçons du passé face à ses aspirations personnelles.

 

Prenons en comparaison les trois derniers règnes des Bourbons avec les mandats de nos trois derniers présidents :

 

Le règne de Louis XIV et les deux mandats de François Mitterrand présentent les mêmes particularités.

 

La succession de deux périodes différentes et contrastées dans le temps. La première, pleine d’espoir et de renouveau est marquée par l’avènement d’une jeunesse politique, un désir de changement et l’avènement des idées. La seconde est  marquée par l’épuisement du temps, la lassitude et l’usure d’un pouvoir qui s’éteint dans la douleur sans pouvoir apporter les solutions aux problèmes de son temps.

 

Le règne de Louis XV et les deux mandats de Jacques Chirac sont très fortement marqués par la présence de deux monarques qui aiment à vivre dans l’atmosphère fermée de leurs palais et délèguent largement les affaires courantes aux gouvernements qui se succèdent. Il en résulte un immobilisme du pouvoir et de l’action associé à une coupure de la perception des besoins exprimés par les Français. Entrecoupés de quelques évènements retentissant, le pays s’endort doucement, sans réaction, sans mesurer les conséquences sur le futur, dans un gouffre sans fond.

 

Le règne de Louis XVI et le mandat de Nicolas Sarkozy me faisait craindre, à l’avènement de ce dernier, que les similitudes se poursuivent.

 

Mais la nature et le caractère des deux hommes me laissait à penser que cela n’était pas possible. Par contre, les conséquences à ne pouvoir mettre en œuvre les changements voulus par leurs concitoyens semblent aboutir à la conclusion que l’histoire se répète.

 

Concernant Louis XVI, nous avons un monarque qui n’a pas été préparé à gouverner. Il sera, tout le long de son règne, tiraillé par une aspiration à comprendre son peuple et faire évoluer une monarchie sans heurter ce régime sclérosé par le poids de son hérédité. Toutes ses prises de décisions auront soins de ne pas offusquer le conservatisme de son entourage à défendre leurs modes de vie et les privilèges qui en résultent.

 

De plus, de caractère faible et hésitant, il ne sera jamais en mesure de s’imposer. Il laissera la porte ouverte à toutes les escalades successives que connaitra la période révolutionnaire jusqu’à son exécution politique et physique.

 

Résultat de cet antagonisme, les troubles Révolutionnaires ne seront stabilisés que par l’avènement, la volonté, l’ardeur et le volontarisme d’un général. Ce dernier rétablira, d’abord au nom du peuple puis et surtout, en son propre nom, l’autorité de l’état. Restauration marqué, du moins dans un premier temps par une très forte capacité d’idée et de travail à créer et porter la réforme.

 

Concernant Nicolas Sarkozy, de prime abord, il me semblait que, sur le point de vue du caractère, le candidat se référait plus à ce général. Son programme affichait la volonté de rupture, de changement. Il laissait entrevoir un désir de modernisé notre pays afin de le pousser hors des abimes de l’immobilisme ou il s’était englué.

 

Le mandat passant et, au regard des méthodes employées, des actes et réalisations effectués il m’incite plus à opter pour l’attitude ambiguë de Louis XVI. Gouvernance, dont les paroles laissent toujours croire à une volonté d’œuvrer pour le bien de tous et la recherche d’un consensus dans l’intérêt de la nation, tout en prenant soins de ne pas offusquer son entourage et de ne pas altérer aux intérêts de ces cercles de proches.

 

La réalité quotidienne démontre même que la conséquence des décisions sont souvent à double emploi et ont toujours, au final, un résultat bénéfique au profit des privilégiés d’aujourd’hui, noblesse financière ou les princes, ducs, Contes, Marquis … sont remplacés par les barons de la Finance, capitaine d’industrie, actionnaires, trader, …. Caste privilégiée, volontairement fermée, qui par son organisation et ses réseaux occupent toutes les places du pouvoir. Cercle ou se décide, à son profit, la répartition des parts d’un gâteau dont on exclue soigneusement les forces vives de la nation tout en préservant le seuil d’implosion du système.

 

Toutes ces décisions se faisant, au dépend du peuple de France qui survit dans un conteste économique et social de plus en plus difficile. Population pourtant composée dans sa plus grande majorité de citoyens qui n’aspirent qu’à obtenir une juste et saine rémunération de leur travail dans le cadre d’une répartition équitable des richesses produites. Situation qui par similitude, toutes proportions gardées, nous rappelle tout de même qu’elle était la position de notre pays, sur le plan de la redistribution des profits, à la veille de la Révolution Française

 

Ce tableau comparatif étant brossé, à l’approche de cette fin de quinquennat, quelle projection future somme nous en droit d’entrevoir. Continuité, changement ou révolution ! Quel sera le verdict de 2012 ?

 

En premier lieu, la continuité est une piste à ne pas exclure.

 

  • Tant, le candidat président sortant n’est jamais aussi à l’aise que lorsqu’il joue cette partition et endosse son costume de VRP.
  • Tant, l’opposition républicaine, en l’état actuel, me parait morcelée, lointaine et irréaliste au regard de la majorité en place. Celle-ci ayant toujours fait preuve d’une discipline électorale, même en période de profond doute, qui ne s’est jamais démentie lors des grandes échéances au point que les prétendants de l’UMP ont en point de mire 2017.

 

  • Tant, malgré les difficultés et les désillusions, nos concitoyens semblent se désintéresser de l’avenir politique et da la destiné de leur nation. Phénomène largement démontrable par un taux d’abstention grandissant, un manque d’engagement politique et syndical et une désertification face au débat d’idée et la défense des idéaux et droits.
  • Tant, et en particulier chez les jeunes, l’intérêt individuel prime sur l’envie de se fédérer et construire un avenir collectif.

 

Autant d’arguments qu’un habile candidat saura exploiter pour contourner les mailles et pièges de la campagne. La conséquence pouvant être que, au final, il se fasse élire non sur son programme et ses forces mais sur les faiblesses et les incohérences de ses adversaires.

 

Alors quelle alternative au pouvoir actuel dans l’opposition républicaine ?

 

Une majorité gauche-écologique dont l’entente de gouvernement a bien du mal à dépasser le stade des programmes et des campagnes. Une institution, le Parti Socialiste qui, quoi que l’on en dise, ne s’est jamais remis de la plaie ouverte le 21 avril 2002 et cherche toujours la formule qui lui permettrait de remplacer son passé par un futur. Un allié, Europe Ecologie-Les Verts dont l’apparente unité d’une fédération composée de petits groupes à la pensée diverse n’ayant d’autre ambition que de pouvoir exister électoralement au coté de son historique partenaire.

 

Le Parti Socialiste, un mouvement ou les vieilles recettes servent à l’ambition de dirigeants issus d’un autre règne ? Un mouvement ou la jeunesse, pour exister, se doit de gravir désespérément les incontournables échelons de l’appareil de gouvernance et ou les générations nouvelles sont souvent sacrifiées au profit de cet appareil.

  • Entre un Dominique STRASS-KAHN dont je ne suis pas sur qu’il ait l’envie de quitter le fauteuil dorée de Washington pour venir s’enferrer dans le passif que va lui laisser le président sortant.
  • Entre François HOLLANDE dont le monumental effort de transformation ne pourra jamais gommer le fond de l’éternelle recherche d’un consensus dans la prise de décision.
  • Entre Martine AUBRY qui, avançant à visage caché tel le cycliste au sein du peloton espérant coiffer les échappées dans le sprint final, se verrait si bien en la première femme à L’Elysée.
  • Entre Ségolène Royal qui n’a pas su tirer les leçons de son échec en continuant à jouer l’eternel retour.

 

Quelle perspective peut-il y avoir avec autant de candidat pour un fauteuil de champion autour d’un programme de campagne sur lequel chacun de ces prétendants ne s’aventurent qu’avec parcimonie et sans engagement.

 

Autre alternative, le Centre qui constitue l’éternelle troisième voie lors des élections présidentielles. Souvent sans réussite finale et avec la réalité de l’inconstance comme le démontre la difficulté à construire une force enracinée stable dans le paysage politique national.

 

Que représentons-nous aujourd’hui à part un espace composé d’une multitude d’ambition individuelle ou le passif est plus fort que l’envie de faire les concessions nécessaires à un inévitable et incontournable rapprochement qui nous permettraient d’être crédibles et porteurs d’espoir.

 

  • Reconnaissons que Nicolas SARKOZY a bien profité de son premier mandat pour que ce centre ne représente plus en France cette force capable, non pas de définir un programme de gouvernement, mais de le porter devant les Français avec une réelle chance de succès et une capacité à mener à la victoire finale un candidat.
  • Reconnaissons que le MODEM a un programme plutôt réfléchi, assez bien élaboré, apportant des solutions aux problèmes, mais trop confidentiel puisque le mouvement est sans représentativité nationale et sans leader de poids hormis son président pour le diffuser et l’enraciner dans la conscience des électeurs.
  • Reconnaissons que nombre d’élus de l’ancienne UDF n’ont pas voulu suivre le même chemin que François BAYROU. sans doute pour se sauvegarder un avenir personnel mais aussi pour ne pas se couper de l’espoir que le candidat Nicolas Sarkozy leur laissait entrevoir au travers de leur participation à l’aventure de l’actuelle majorité. Les années passées leurs auront montré que leurs illusions ne pouvaient être aussi ambitieuses que ce a quoi ils auraient pu prétendre tant le dirigisme du président a été fort.
  • Reconnaissons que ce constat est aussi fait par des personnalités de l’UMP ou proches de ce parti, dont le mode de pensée est sensiblement différent de la ligne exprimée par Nicolas SARKOZY.

 

Et pourtant la réalité de cette alternative Républicaine à Nicolas Sarkozy ou à une majorité gauche-écologique existe et présente un espace de victoire indéniable. Espace à occuper dans l’échiquier politique tant l’attente est grande dans la population. Il reste à trouver un candidat, à finaliser le programme et à peupler cet espace avec les élus nationaux et locaux en capacité à diffuser le programme auprès de Français. Il reste surtout à dépasser les clivages, à se regrouper et à vouloir préparer cette alternative.

 

Cependant ne négligeons pas l’autre réalité, celle des extrêmes, et en particulier à la droite de l’actuelle majorité. Le Front National a fait peau neuve, nouvelle présidente, nouvelle communication, nouvelle attractivité, … Il le dit. Il le vend. Il veut convaincre …

 

Mais sous ces nouvelles apparences, faisons en sorte de ne pas tomber dans le piège. Car, au fond, lorsque l’on regarde derrière la façade, rien n’a vraiment changé. Cet aspect de respectabilité, de recherche de solutions concrètes et fiables ne sauraient effacer les fondements du mouvement. Sauf que pour un nombre croissant de nos compatriotes, le ras le bol général devant l’incapacité des élites républicaines à proposer une alternative crédible, intégrant en premier lieu les préoccupations majeures et quotidiennes des Français , pourraient les amener à opter pour le slogan « Pourquoi pas eux … » .

 

En revenant à l’histoire, Cette issue serait révolutionnaire, mais elle serait surtout grave pour notre équilibre national et notre démocratie. L’histoire montre comment arrive une révolution mais aussi comment elle évolue, comment elle engendre les excès et comment il est dur de la conclure et de se relever de ses conséquences.

 

Réfléchissons … !

 

 

 

Philippe BRUNEEL – 26 avril 2011

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 16:45

 

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Philippe Bruneel, de Montigny le Bretonneux, a écrit un mail à Nicolas Sarkozy dont les maitres mots sont CELA SUFFIT et REAGISSEZ.

 

Vous trouverez ci-après le texte de Philippe ainsi que son message à François Bayrou, dont il attend beaucoup pour 2012.

 

Comme bon nombre d'entre nous !

 

N'hésitez pas à réagir.

 

 

Bonjour Monsieur BAYROU,

 

En tant qu’adhérent MODEM, je me permets de vous écrire afin de vous donner copie de mon envoi à Monsieur le Président de la République sur le site de la Présidence de la République.

 

Espérant que, au delà des difficultés et divergences actuelles du MODEM et, ne souhaitant pas voir ni la gauche, ni Monsieur SARKOZY vainqueur en 2012, je souhaite que vous trouviez les moyens et alliés nécessaires à l’émergence d’une troisième voie rassemblant le centre et tous les déçues de Droite laissés par Mr le Président sur le bord de la route.

 

Il est temps de se remettre en question et d’agir pour un nouveau rassemblement politique

 

Je vous prie de croire en ma sincère considération.

 

Philippe BRUNEEL

 

 

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Copie du mail à Monsieur le Président de la République

=============================================================================

 

Monsieur le Président,

 

Je reprends la plume, pour cette rentrée, afin de vous exprimer un cri d'alarme et, excusez moi pour cette fois, le ton est beaucoup moins cordial qu'à mon habitude.

 

CELA SUFFIT ... Les Français sont de plus en plus lassés par les affaires de votre politique à laquelle ils ne savent plus différencier le vrai du faux, l'honnêteté de la malhonnêteté jusqu'à savoir qui vous soutient vraiment dans votre gouvernement et qui fait semblant.

 

CELA SUFFIT ... Cet écran de fumée concernant la sécurité tout azimut dont l'excès amène à l'image désastreuse des Rom's. Politique vertement critiquée par les autorités morales et politiques de tout bord dans notre pays et chez nos partenaires.

 

CELA SUFFIT ... Que les grands patrons et financiers continuent à s'enrichir d’une façon inconsidérée alors que les personnes qui travaillent de plus en plus en dur n'arrivent plus à se loger et à nourrir leurs enfants. La preuve ces deux messieurs de BNP ont empochés en quelques minutes l'équivalent d'un salaire mensuel de 2000 euros de 600 personnes. Trouvez-vous cela juste.

 

CELA SUFFIT ... Que les jeunes ne trouvent plus de travail, ne trouvent plus d'alternance et, pire encore n'arrivent même plus à effectuer leurs études sous un toit et avec un repas.

 

CELA SUFFIT ... Que les seniors, après avoir donnés toutes leur vie à une entreprise soient remerciés comme des malpropres afin de satisfaire aux seules règles d'exigences financières des actionnaires des grands groupes. Et je ne vois pas comment l'allongement de l'âge de la retraite va arranger ceci puisque elle va fabriquer simplement des retraités en chômeurs en fin de droit ou Rmiste. Travailler toute sa vie pour terminer dans la misère.

 

CELA SUFFIT ... Que la spéculation tout azimut, en particulier sur la pierre (achat ou location) empêche les français d'accéder de façon décente aux logements et entraîne irrémédiablement une hausse continuelle des prix.

 

CELA SUFFIT ... Les Français sont de plus en plus lassés par votre politique qui ne traite en rien les vrais problèmes et masque une totale incapacité à trouver des solutions à leurs difficultés quotidiennes croissantes.

 

... (Et tant d’autre chose)

 

REAGISSEZ ... Vous avez été élu sur un programme qui devait nous aider à mieux vivre. Or aujourd’hui  votre politique n'aide en rien les Français, à moins que ces derniers ne soient limités aux privilégiés qui vous entourent.

 

Merci de me lire, en attendant votre réponse, veuillez croire en ma sincère considération.

 

Philippe BRUNEEL

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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 12:01
 

Point-d-interrogation.jpgL'Assemblée nationale a adopté, mardi 29 juin en première lecture, par 287 voix contre 216, la proposition de loi UMP visant à suspendre les allocations familiales, après "un premier avertissement", pour lutter contre l'absentéisme scolaire.

 

Cela me laisse songeur. Voire énervé. Très énervé.

 

Voilà, c’est ça, je suis songeur et très énervé.

 

Suivons le raisonnement :

 

1-     Pour supprimer les allocations il faut déjà que la famille de l’élève absent en touche

2-     Pour que la sanction ait du poids, il faut que ces allocations soient nécessaires à la famille de l’élève pour vivre, voire survivre. Autrement cela ne fait pas mal et cela ne servira à rien.

3-     Donc seuls les plus pauvres sont touchés.

4-     D’ailleurs c’est normal car ces salauds de pauvres profitent du système et il est juste de les punir car ils ne savent pas tenir leurs enfants.

 

Et les fils et filles de « riches » qui ne vont pas à l’école, comment on fait ?

 

Est-on certain que cela n’existe pas ?

 

Si cela existe, les fils et filles de « riches » qui s’en foutent de l’école, on fait quoi aux parents ?

 

On augmente leurs impôts ?

 

Ou alors il y aurait une catégorie de famille, les « nantis », qui bénéficierait d’un bouclier scolaire ?

 

C’est insupportable, cette espèce de paternalisme social qui voudrait que les pauvres aillent plus à l’école pour s’élever socialement (jusqu’à quel plafond de verre ?) alors que les plus riches (ou les moins pauvres) n’en ont presque pas besoin car tout est joué et la reproduction des élites fera le reste…

 

Je bouche le bouchon trop loin ?

 

Les députés n’avaient qu’à pas commencer !

 

Antoine Junqua

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 11:52

Bonjour a tous,

 

Je vous soumets cet article trouvé sur le Net (source Le Figaro) et ouvre le débat. Si l’on souhaite avoir un Président issu du Centre en 2012, doit-t-on continuer dans la voie actuelle et rester entre nous ou trouver une place dans un large rassemblement susceptible de porter un candidat face à Nicolas Sarkozy.

 

A vos réactions.

 

Cordialement

 

Philippe BRUNEEL

 

 

_____________________________________
Les centristes s'activent pour unir leurs forces

Gilles de Robien puis Jean Arthuis vont rassembler des ex-UDF de tous horizons.

assises-centriostes.pngDes candidats à la présidentielle, le centre en a -virtuellement- à revendre. François Bayrou se présentera sous les couleurs du MoDem, Hervé Morin veut que le Nouveau Centre «se donne les moyens» de participer à la compétition et Jean-Louis Borloo, membre de l'UMP mais aussi président du Parti radical, se demande s'il ne serait pas le mieux placé pour incarner les «valeurs centristes» en 2012 .

Mais quelles sont ces fameuses «valeurs»?

C'est à cette question que Gilles de Robien consacre demain à Boulogne-Billancourt un colloque intitulé: «Comment rassembler les centres?» Pour l'ancien député maire UDF d'Amiens, le fond conditionne la forme. Les membres de la famille centriste doivent définir «une plate-forme de travail autour de grands thèmes fédérateurs des valeurs du centre» avant de se lancer dans de grands travaux de reconstruction.

 «La présidentielle, ce n'est pas mon boulot, prévient Gilles de Robien. Je ne choisirai pas entre Borloo et Morin.» Du moins pas tout de suite, car, selon lui, «si la France est riche de ses 360 fromages, elle ne peut pas s'offrir le luxe de 360 candidats centristes». Robien se réserve donc de dire qui il soutiendra «le moment venu». En attendant, il profite du temps que lui laissent ses deux fonctions officielles -ambassadeur chargé de la promotion de la cohésion sociale et délégué du gouvernement français au Bureau international du travail- pour ressusciter son think-tank, Société en mouvement. «Les élections ont montré à la fois l'intérêt et les limites du parti unique, observe-t-il. Peu à peu, la majorité s'est déplacée à droite, en cultivant des valeurs comme l'autorité, mais elle ne s'est pas élargie. Résultat: beaucoup de ses électeurs s'abstiennent, ce qui est un vrai gâchis démocratique.»

Bayrou viendra-t-il?

Des centristes de toutes obédiences ont promis de participer au colloque de Boulogne-Billancourt. Le maire, Pierre-Christophe Baguet, est d'ailleurs lui-même un ex-UDF. Il a rejoint l'UMP en 2006 après avoir rompu avec François Bayrou. Rallié entre les deux tours de la présidentielle de 2007, Hervé Morin, le président du Nouveau Centre, sera là avec ses deux collègues Jean-Christophe Lagarde et André Santini. Jean-Pierre Raffarin et Gérard Longuet, ex-UDF ralliés à Jacques Chirac en 2002, sont aussi prévus. Jean-Louis Borloo a demandé à Serge Lepeltier, porte-parole des radicaux valoisiens, de le représenter. Gilles de Robien a même invité le patron de la Gauche moderne, l'ex-PS Jean-Marie Bockel.

Le sénateur de la Mayenne Jean Arthuis essaiera aussi de venir, mais, outre un agenda parlementaire chargé, il prépare ses propres «Assises du centre», qu'il tiendra le 8 juin à Paris. Depuis l'an dernier, il a transformé son club, l'Alliance centriste, en parti. Une douzaine de sénateurs et deux députés en sont membres. La liste des participants à ces assises recoupe largement celle de Gilles de Robien -qu'il a invité-, mais il a également l'intention de demander à François Bayrou de venir, parce qu'il considère qu'il «a sa place dans le rassemblement du centre». Le président du MoDem acceptera-t-il? Après tout, fin avril, il a bien rencontré Nicolas Sarkozy…

(Source Le Figaro politique)

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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 16:54

triangulaires.jpgSuppression de la triangulaire : le Mouvement Démocrate dénonce un danger pour la démocratie

Jacqueline Gourault, sénatrice du Mouvement Démocrate, et Christophe Madrolle, délégué national du Mouvement Démocrate, ont réagi au projet de la majorité présidentielle de supprimer la triangulaire au second tour de scrutin :


De quoi s’agit-il ? Deux députés UMP ont déposé séparément, le 25 mars, donc après l’échec de leur parti aux régionales, une proposition de loi visant à ne permettre qu’aux deux candidats —ou deux listes— arrivés en tête d’un premier tour de scrutin de se présenter au second tour, comme c’est déjà le cas pour l’élection présidentielle. L’objectif est d’empêcher toute triangulaire et, a fortiori, toute quadrangulaire. Les deux élus rappellent que le second tour des élections régionales a vu se dérouler sept duels, 17 triangulaires et une quadrangulaire. Le dispositif qu’ils proposent concernerait tous les scrutins à deux tours et devrait être également retenu, selon eux, pour le futur conseiller territorial, ce scrutin étant celui auquel les Français attachent le plus d’importance.


Voici ce que disent Jacqueline Gourault et Christophe Madrolle à propos de ce projet :

Jacqueline Gourault : "Dans ce qu’on lit dans la presse aujourd’hui, il y aurait deux changements par rapport au projet initial. Dans le projet de loi, il était prévu une part de scrutin uninominal et une part de scrutin proportionnel. Là, non seulement on n’aurait plus que deux candidats au 2ème tour, sans triangulaire possible, mais en plus, ils feraient disparaître la proportionnelle, ce qui n’est pas acceptable. Par un tour de passe-passe on toucherait ainsi à la parité et à la représentation des différentes sensibilités politiques des Français. Ce mode de scrutin porterait atteinte à la représentation pluraliste dans notre pays et favoriserait les deux grands partis. Ce serait l’expression d’un vision bipartisane de la vie politique française. Les électeurs n’auraient plus le choix qu’entre un bulletin de vote UMP et un bulletin de vote PS, ce qui n’est pas acceptable.


Le Premier Ministre a écrit à toutes les formations politiques, en nous demandant notre avis. François Fillon a en effet adressé, le 27 Avril, une lettre aux responsables des principaux partis politiques leur demandant leur position sur l’élection des futurs conseillers territoriaux .Prêt à bouger, le gouvernement souhaite que la question soit réglée lors de l’examen du projet de loi sur la réforme territoriale, le 25 mai. D’ici là, l’UMP aura décidé si elle souhaite un scrutin à deux tours interdisant les triangulaires, avec possible extension aux listes pour les législatives

Le MODEM rappellera qu’il est attaché à un mode de scrutin mixte, avec à la fois une représentation territoriale, c’est-à-dire uninominale, et une part significative de proportionnelle qui permet de représenter toutes les sensibilités, et donc le pluralisme, ainsi que la parité."


http://www.mouvementdemocrate.fr/ac...

 

Pourtant ce projet n’est pas forcément gagnant pour ce parti ! Quand son candidat arrive en 3ème position, il ne pourra pas se maintenir, sauf si son score est supérieur à 12,5%. Et si le duel oppose un candidat du Front national et un socialiste, pour qui va-t-il appeler à voter ? Quel sera son choix ? Appeler à faire barrage à la gauche, voudrait dire appeler à voter Front National ?

 

La majorité présidentielle préfère changer les règles du système électoral, comme elle redécoupe les circonscriptions au lieu de tirer les leçons de ses échecs électoraux. De la même façon, la gauche, avec Mitterrand, a encouragé la montée du Front National pour faire barrage à la droite, en modifiant le mode de scrutin pour l’élection législative de 1986 : à la proportionnelle départementale au lieu de uninominal majoritaire.


Après tout, quand on n’est pas content des partis politiques, autant les supprimer ! Plutôt que de guérir le malade, on préfère casser le thermomètre (commentaire lu sur le site du Mouvement démocrate). Comment ne pas s’étonner que les Français n’aient plus confiance dans leurs politiques et se réfugient dans l’abstention ?


Une pétition circule actuellement sur le net contre cette proposition de suppression des triangulaires.


http://www.mesopinions.com/Petition...

 

Et si comme moi, vous ne voulez pas vous réfugier dans l’abstentionnisme et désirez que, face au seul choix gauche ou droite, le vote blanc soit reconnu, voici une autre pétition !

 

http://www.mesopinions.com/Petition...

 

Viviane Boussier

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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 13:06

A quoi se limite la campagne des régionales dans les médias ?

A l’"Affaire Soumaré "C’est le titre de l’article extrait de "Marianne"

http://www.marianne2.fr/Affaire-Sou...

La belle affaire ! une campagne qui se déroule dans un climat délétère ! des titres consacrés à G. Frèche et aux démêlés des socialistes, une tête de liste UMP qui veut réserver un wagon spécial aux femmes ( ça ne vous rappelle rien ? ) ; le" sexe (dit) faible" apprécie .. un climat que même une députée de la majorité présidentielle qualifie de "pire qu’en 2004" (ce n’est pas peu dire !), des candidats qui considèrent qu’un "jeune noir ne peut-être que footballeur" .. Des propos de caniveaux, des boules puantes, des coups tordus entre les deux blocs, voilà à quoi se résume actuellement la campagne des régionales !

Au milieu de tout cela, les difficultés des retraités, les restos du cœur qui voient leurs effectifs augmenter, la courbe du chômage qui monte.. Eclipsées ces questions.. Où sont les débats projets contre projets, où sont les débats autour des thèmes régionaux ? sur les écrans, après 23 h !.

Par contre, faire le jeu des abstentionnistes (1 citoyen sur 2 ne compte pas aller voter), faire le jeu des extrémistes .. tous les ingrédients sont réunis pour déconsidérer un peu plus les "politiques, "tous pareils : voilà ce que nous entendons sur les marchés !

Vous ne voulez plus de ces attaques stériles, de ces phrases assassines ? Alors, laissez leur ces propos qui volent au dessus de nos têtes ! Et votez Modem ! pas "politique" notre candidat, pas "politiques" nos candidats ? A l’heure actuelle, c’est plutôt un compliment ! quelle affaire quand on voit le niveau des phrases de nos "politiques" de droite comme de gauche ! quel idéal, quel projet nous proposent-ils ? Dans notre campagne de proximité, pas de propos "contre", mais des projets "pour" ... des candidats qui connaissent les dossiers, qui ont une vue pragmatique de l’avenir qu’ils veulent pour notre région .. Malheureusement, c’est moins vendable pour les médias ! peu de lignes pour notre programme..( à lire sur notre site !)


Décidément, je leur laisse leurs petites phrases idiotes et je voterai Modem.

Viviane


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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 18:17


L'autre matin, le 16 février exactement, j'écoutais distraitement  la radio. Un peu avant 8 heures. Francois Morel y disait sa chronique d'humour poétique sur le thème de la ligne transversale.

Pendant une semaine ces mots ont dansé dans ma tête: ligne transversale, ligne transversale...

Et ce week-end, magie de la technique internet, j'ai ré-écouté avec plus d'attention cette chronique sur le site de France Inter. Et j'ai compris pourquoi ces mots m'avaient marqué.

Extrait : "La ligne transversale, elle n'est pas la ligne de ceux qui n'en ont pas. Elle n'est pas synonyme de débauchage, de prise de guerre pour gagner une place...La ligne  transversale c'est celle de l'échange et du dialogue".

Cela ne fait que renforcer mon engagement politique au Mouvement Démocrate: à 18%, 8% ou 5%, c'est bien la ligne transversale que je préfère !

Antoine Junqua.



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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 19:00

 

Point-d-interrogation.jpg Philippe Bruneel, MoDem à Montigny le Bretonneux, lance un débat qui, à mon sens, mérite d'être lancé. Ce blog étant un lieu de débats et d'échanges, cela tombe bien !

Réagissez !

Antoine Junqua



Le sondage IFOP - LE PARISIEN qui doit paraître nous donne les informations suivantes :

 

- UMP-NC         27%

- PS                   27%

- FN                     8,5%

- MODEM           6,5%

- Front Gauche   5%

- NPA                  3%

 

Cela me semble très inquiétant car, après la déroute des Européennes, ces nouveaux sondages ne sont pas bons et devraient tout de même nous amener à nous poser certaines questions sur la stratégie de notre mouvement.

 

De plus nous venons d'apprendre que notre sénateur Nicolas About, a rejoint la liste de Madame Pecresse sans quitter officiellement le MoDem, mais en se mettant en congé de notre parti, ne partageant pas, entre autres, la stratégie d'alliance à gauche sous jacente. Ce qui ne m'a pas étonné étant donné que sa position avait été déjà clairement évoquée lors de rencontre avec les élus centristes des Yvelines. Elus dont les positions sont aussi partagées que celles des adhérents tels que nous avons pu le constater lors de nos dernières réunions de circonscription sur Guyancourt-Montigny.

 


Anti-sarkozisme et isolement


Où allons nous, le savons-nous nous même ? Cet anti-sarkozisme, qui anime notre mouvement est, à mon avis et je l'ai toujours dit, suicidaire auprès de nos concitoyens. Notre volonté d'indépendance et de pouvoir travailler avec les uns (Droite) et les autres (Gauche) s'est malheureusement évanouie dans ce refus systématique de dialogue et de coopération positive avec le pouvoir en place. L’isolement ne mène à rien et l’absence de dialogue et de travail en commun sur les dossiers ne permet pas de faire avancer nos idées, ni d’infléchir ou d’enrichir les projets gouvernementaux. Il vaut mieux essayer de faire passer quelques idées, au travers de la recherche d’un consensus, que de ne jouer aucun rôle et n’avoir aucune possibilité d’amendement dans les décisions prises aujourd’hui et qui engagent notre pays pour au moins 10 ans.

 

Flou artistique


Le flou artistique qui entoure l'alliance à gauche ou le maintien de notre indépendance est tellement large et nébuleux que l'on ne sait plus très bien où nous sommes et ce que nous ferons. La preuve en est que, chez Madame Royal, les candidats MoDem aux régionales ne respectent pas la consigne nationale d'indépendance au premier tour.

 

Visiblement les Français ne nous soutiennent plus et n’accordent plus vraiment leur soutien à François Bayrou et son équipe nationale. La preuve en est de notre chute systématique et irrémédiable dans les sondages depuis la fin de l’élection présidentielle. Le centre, duquel est issu notre mouvement, n’est plus et a donné place à grand nombre de courants dont les responsables ne se parlent plus vraiment et laissent les adhérents dans une perplexité grandissante.

 


Questions ouvertes


Je pose les questions suivantes :

 

- Est-ce cela que nous avons voulu en créant le MoDem ? En faire un parti fermé et marginal de la scène politique française qui ne sait plus ni où sont ses racines ni où va son avenir.

 

- Est-ce pour cela que nous nous sommes engagés dans ce mouvement ? Pour porter ce constat en lieu et place d’un projet moderne et humain que l’on s’efforcerait de construire dans le dialogue avec les autres forces républicaines de notre pays.

 

Où est notre projet politique, au delà des ambitions présidentielles de notre leader ? Projet qui se doit de commencer aujourd’hui, avec toutes les sensibilités centristes, par notre apport à ce qui se décide maintenant et engage notre pays et notre vie de citoyen. Action qui doit permettre à ce projet de devenir « le projet de demain » pour notre pays.

 

Restant dans l’attente de vos réactions, suggestions, j’espère que mes interrogations ouvriront ou enrichiront le débat au sein de notre mouvement.

 

Très cordialement,

 

Philippe Bruneel.
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  • : Bienvenue, Ce blog existe à l'initiative de plusieurs adhérents du Modem habitant les différentes communes de Saint Quentin en Yvelines. Il porte les valeurs du Mouvement Démocrate. Il est donc ouvert à tous : adhérents, sympathisants et à tous les autres ! Ce blog est là pour alimenter la réflexion, favoriser le débat d'idées, les prises de positions et faire avancer concrètement les sujets qui nous concernent tous. A bientôt.
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